Le label de production de DJ Arafat a connu des coups durs avant et après sa mort, et les choses ne vont pas en s’arrangeant. Après le départ de plusieurs de ses artistes et la tentative de dissolution par Tina Glamour, la Yorogang fait désormais face à des accusations concernant sa légitimité.
Convaincu que l’œuvre du Daïshi ne devait pas disparaitre en même temps que lui, les membres restant de la Yorogang avait décidé de ne pas rester les bras croisés et de relancer la machine avec Landry Agban à sa tête. Pour ceux qui l’ignorent la Yorogang est selon les mots de feu Arafat, une entreprise, un bloc de nouchi intelligent et choco.
Non content de la tournure qu’ont pris les choses depuis la mort de leur Daïshikan, certains fans de DJ Arafat ont décidé de remettre en cause la légitimé des membres du groupe et même son statut juridique en tant qu’entreprise. La réponse du groupe s’est fait par communiqué :
« Des informations diffusés par des individuvidus mal intentionnés s’adonnant à une campagne de dénigrement sur les réseaux sociaux font état du fait que la Yorogang n’ait aucune reconnaissance juridique, et serait donc une entreprise de fait ;
Que les représentantes des ayants droits ont refusé de reconnaître la Yorogang Group…
…les représentantes des ayants droits sont avisées en temps et en heures de toutes les actions que nous menons. Que tous les revenus de nos actions seront reversés intégralement aux ayants droits… elle n’est pas un groupe d’hypocrites. Mais un groupe de frères, sœurs et amis de feu Houon Ange Didier, qui lui a juré fidélité et loyauté. »
Voilà qui parait clair. En attendant la Yorogang aura fort à faire afin de redonner de l’éclat à l’ancienne création de Beerus sama.
M.E.
