Wanda Peeps, pour les fans de feu DJ Arafat la chasse aux sorcières n’est pas terminée. Bien décidés à confondre tous ceux qui ont eu à mettre des bâtons dans les roues au Daïshikan de son vivant, ils pointent désormais d’un doigt accusateur Molare, à qui ils attribuent un délit de sabotage lors du dernier concert de leur star.
Lorsque sonne l’heure des règlements de comptes, personne n’est épargné. Molaré fait aujourd’hui l’objet d’accusations des « Chinois » pour une affaire de boycott ayant touché feu DJ Arafat lors de son tout dernier concert.
L’un des danseurs de Beerus Sama, Super, a en effet fait d’étranges révélations concernant ledit concert et l’implication de Molare dans sa tentative de boycott. Il affirme :
« Le jour de son dernier concert au Yelam’s àTreichville, c’est avec Kenzo qu’Arafat avait loué le matériel. Il lui avait donné la moitié de la location. C’est Molaré qui a appelé Kenzo Cash Money, le menaçant de ne pas nous envoyer ses appareils, et Kenzo a fermé son téléphone pour ne pas que DJ Arafat puisse le joindre »
Euille ! Un fait grave qui n’a tout de même pas empêché le Yôrobô de tenir son concert comme l’a révélé le danseur par la suite. Une accusation grave à laquelle Molaré a répondu lors de son passage à l’émission Faha Faha. Ce dernier pour sa défense a déclaré :
« La dernière nuit avant son concert, je n’étais même pas informé qu’il avait besoin de matériel. Et l’avant-veille, il est passé prendre mes enfants chez moi parce qu’il y avait l’anniversaire de son préféré qui s’appelle Farel. Et celui qui n’a pas donné son matériel c’est Kenzo (…) Je ne savais pas que Kenzo qui est mon frère depuis des années, avait refusé du matériel à DJ Arafat »
Molaré nie donc toute implication dans cette tentative de sabotage de DJ Arafat. Par contre, celui qui ne s’est pas encore prononcé sur l’affaire, est le principal intéressé Kenzo dont les motivations restent encore inconnues.
Wanda Peeps, depuis le décès de DJ Arafat révélations et accusations fusent de partout. Il est désormais difficile à l’heure actuelle de pointer du doigt un proche de l’artiste qui n’ait pas sa propre histoire avec lui.
M.E.
